Que de tracas...

En ce moment les journées se suivent et se ressemblent...

C'est le préavis pour rendre le logement de ma grande qui n'arrive pas en temps et en heure parce qu'il y a grève des facteurs.

C'est une personne qui ne fait pas son travail et qui me met dans un état de stress pas possible...

C'est ma banque que je n'arrive pas à joindre, répondeur toute une matinée alors qu'une opération devait être effectuée avant 12h00 !

C'est mon grand qui m'appelle ce midi pour me dire qu'il a raté son bus, il faut donc que je laisse mon travail de préparation à l'école, que je reprenne mon vélo ( pour m'apercevoir qu'une fois de plus il est crevé! ) , je rentre donc à pied, prends ma voiture et fais les 15 km aller et 15 km retour !

C'est monsieur Vivement qui n'a pas daigné faire à manger, donc je fais le repas en rentrant vers 13h30 !

Et puis cette fichue herbe qui n'arrête pas de pousser! Je n'avais pas eu un mercredi après-midi de libre depuis bien longtemps, entre les journées rattrapées et les réunions pédagogiques et voilà que je passe cet après-midi à tondre !

Du coup je me suis fait un joli bouquet de pivoines de mon jardin !

 Et puis j'ai fait mon crop circle !

Comments

[Bénédict]

Pour les cafés, outre ceux de mon adolescence où je me suis formé au billard il en est un cher à mon cœur, perdu au fin fond des Vosges .

J'y ai trouvé accueil et chaleur.

Dans tous les sens du terme.

Je me remettait juste d'une noyade dramatique et glaciale.

le café, mi café, mi chicorée fredonnait sur la cuisinière à charbon, infect mais délicieux le signe que la vie existait encore.

Depuis, je suis passé au thé

Pour le billard, je reste encore redoutable.

Amitiés.

[B r u m e]

hauts les coeurs ! j'espère qu'en cette fin de we, tout est un peu plus positif pour toi ! bises !

[Bénédict]

A l'époque j'étais jeune, viril, entraîné, sans états d'esprit, ni culpabilités,maintenant, je ne suis plus jeune, les culpabilités me rongent autant que mes articulations, mais je ne regrette rien.

Et je continue à me battre pour ce que j'estime bien ou juste.

[Bénédict]

Pour ce qui est des causes désespérées, je risque de te battre, même si pour certaines, je n'ai pas droit d'en parler.

[Bénédict]

je préfère Sainte Rita, c'est plus sur.

Athée oui mais pas trop